« La nature est un professeur universel et sûr pour celui qui l'observe. » de Carlo Goldoni

Petite usine sans toit aux Ardoisières... Mais à quoi était elle destinée ? ...

Petites trouvailles trouvées sur un mur d'ardoises...

Sur les bords de Loire...

Chalonnes sur Loire

Maison des années 80, aujourd'hui détruite pour un nouveau lotissement, qui n'a pas echappée aux visites de squatteurs sans scrupule.

Maison abandonée avec de très jolies couleurs de rouille que le soleil n'hésite pas à faire ressortir....

Petite balade en campagne ...

Petite Coccinelle sous un rayon de soleil...

Four à Chaux de Pincourt

Four à chaux "Le Pincourt"

"Gueulard"

Levier pour accéder à au "gueulard" et y déposer le calcaire et le charbon

Annexe du four à chaux

Entouré de tunnels

Fours à chaux : fleurons de l’industrie angevine au XIXe siècle, sont aujourd’hui tombés dans l’oubli et menacés de disparition. De forme traditionnelle, ils forment des troncs de cône variant de 7 à 14 mètres de hauteur et de 8 à 16 mètres de largeur. Il possède deux ouvertures :

- A l’extrémité supérieure, le gueulard, large ouverture circulaire par où l’on charge le calcaire et le combustible.

- A la base, on trouve un ou plusieurs ébraisoirs, appelés aussi «gueules» où l’on «tire» la chaux. Il est muni d’une grille qui permettait de séparer les pierres de chaux des cendres.Depuis la fin du XIXe siècle, de nombreux sites chaufourniers ont disparu. Les sites restants à quelques exceptions près disparaîtront dans les prochaines décennies si rien n’est fait pour les sauvegarder.Une tentative de sauvegarde du patrimoine chaufournier a échoué au cours des années 1990 à Montjean-sur-Loire pour des raisons à la fois financières et psychologiques.Il est en effet difficile de défendre un patrimoine industriel considéré à tort par beaucoup comme mineur.

Textes de Gabriel Lemaire et Pascal Girault